Il aura fallu quatre ans à Adrianna Carambeu, son mari Aram Ohanian, leur ami architecte Gil Dez et la décoratrice France Ansaldi, pour ériger un palais hors normes au style à la fois oriental, baroque, colonial et florentin. Laissez-vous aller à la flânerie.
Érigée sur un terrain de 3 hectares, la bâtisse d’époque 1930, enfouie dans une végétation luxuriante de plus de 20 000 m², offre à l’œil un mélange entre villa toscane, maison coloniale et palais marocain. Le ton est donné et pourtant ! Rien ne laisse présager ce qui nous attend une fois à l’intérieur.
Conçu comme une maison privée, le Palais Ronsard regorge de détails, d’objets chinés, de coins et recoins. La décoration y est foisonnante. On ne peut que s’y ‘évader encore et encore.
Ce que le jour doit à la nuit
Aller au Palais Ronsard, c’est s’offrir une vraie parenthèse avec le rythme citadin. Prendre un bain de soleil au bord de la piscine, lire son livre dans un des canapés moelleux du patio, se laisser bercer par la douce musique des fontaines, se balader entre les oliviers centenaires ou chiller sur la terrasse et profiter de toute cette verdure…les journées ne vous sembleront jamais trop longues. Le soir, il fait bon retrouver sa suite. Chacune raconte une histoire qui unit l’Orient à l’Occident.